texte : Gaël Derrien
une exposition de Gaël Derrien et Julien Quentel, millefeuilles, Nantes, 2016
communiqué de presse : Gaël Derrien
C’est l’organique de nos corps qui parle ce langage plastique et non pas une pousse de l’intellect, et coexiste une nourriture spirituelle du corps, et elle désir la paix, le paisible et la simplicité de l’acte
de création et de réception. La poétique est là, dans des résidus et des actes simples. Le minimal est conquérant dans le choix de ces œuvres et peut-être même la sécheresse, c’est intéressant la
sécheresse dans ce travail, une sécheresse qui bavarde tranquillement, voilà ce que je vois aujourd’hui. Il y a des peintures d’eau verte et comme un rideau de douche, ce n’est pas vraiment
la sécheresse non plus, il y a des oranges, c’est peut-être un calme oasien où l’on vaque et ponce un tube de métal.